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Présentation de l'ouvrage

Titre et couverture

Conformément à la demande de la ville de Jœuf et des responsables de l'association "Le Football à Jœuf" , l'ouvrage porte le titre : "1909-2009, Un siècle de football à Jœuf" et il fait 704 pages entièrement en quadrichromie, avec couverture rigide cartonnée. L'ouvrage comporte 2450 photos, documents ou illustrations. Pour la commodité de présentation des photographies, le format 21 x 29,7 cm, le plus adapté, a été retenu. Le groupe rédactionnel du CPHJ a travaillé 3 ans sous la direction de Roger Martinois, historien et président du "Cercle pour la Promotion de l'Histoire de Jœuf" . Très vite, le comité de rédaction a pris conscience d'un différentiel important, concernant tant les sources iconographiques (photos) que les témoignages, entre les deux moitiés du XX° siècle. Naturellement un large déficit apparaissait pour la période allant de 1910 à 1950. Dans la mesure où l'on conservait la trame chronologique, le risque d'une pagination déséquilibrée entre "Histoire" et "Mémoire" devait être évité ! Au fur et à mesure de l'avancement des recherches, la réflexion s'affinait. En novembre 2008, alors que se précisait le calendrier et le programme des manifestations et, surtout, l'ampleur de la journée phare du centenaire, il est apparu judicieux d'intégrer également dans l'ouvrage des documents-souvenirs relatant ce centenaire exceptionnel. Au final, il a donc été décidé de présenter le livre en trois thématiques complémentaires. La couverture porte donc un sous-titre précisant les contenus de ces trois parties.

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Fac-similés de la première et de la quatrième de couverture de l'ouvrage.

 

* Détail des illustrations (photographies, fac-similés de presse, tableaux de résultats et tableaux chronologiques, illustrations diverses) :

Photographies
1084
Fac-similés presse
1013
Illustrations diverses
65
Tableaux de résultats
67
Tableaux de chronologie
221

 

Liste des autres villes et clubs concernés

Briey * Moyeuvre-Grande * Jarny * Droitaumont * Giraumont * Homécourt * Mont-Bonvillers * Mancieulles * Crusnes * Froidcul * Bouligny

 

Une architecture en trois parties

* Sommaire :

 

* Première partie :

L'histoire de la pratique du football à Jœuf s'inscrit évidemment dans le cadre plus général de l'apparition du ballon rond en France. De façon modeste, elle témoigne du contexte particulier qui voit le développement progressif du football-association au début du XX° siècle.

En Lorraine, le football fait une apparition timide vers 1895 : des étudiants nancéiens se retrouvent régulièrement sur la place de la Carrière, pour y disputer des parties de "balle au pied"… Au tout début du nouveau siècle, tandis que les responsables des œuvres de jeunesse catholiques "se lancent" sur le terrain du sport, à Jœuf, le patronage paroissial se borne à la pratique de la musique, de la gymnastique et de l'escrime. Comme dans la plupart des patronages en Lorraine demeurée française, dans le fief très patriotique de MM. De Wendel, le ballon rond tarde à faire son apparition !

C'est vers 1909/1910 que commence l'histoire du football à Jœuf, une histoire originale et exemplaire, s'inscrivant à la fois dans l'histoire générale du pays et dans l'histoire particulière d'une cité industrielle façonnée par les maîtres de forges de la famille Wendel…

Épousant l'essor de la cité et de ses activités économiques, l'histoire du football accompagne l'histoire sociale et culturelle des Joviciens. Façonnée par quelques hommes passionnés, très naturellement, cette histoire connaît des périodes héroïques et des heures sombres, des saisons modestes et des moments glorieux ! Reconstituées après une année de recherches, ces diverses phases ont guidé notre choix pour arrêter le découpage chronologique du siècle écoulé.

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Fac-similés de la page de garde et de la page titre "1ère partie".

Le chapitre 1 évoque donc les débuts du football en Lorraine et à Jœuf, le temps des patronages à la Belle Époque. Il présente les pionniers joviciens du ballon rond, les jeunes gens de la Légion de Franchepré et de la Section Pierre de Bar.

 

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Fac-similés de la page "chapitre 1" et d'un exemple de page.

Fac-similés des pages 36 et 37.

Fac-similés des pages 41 et 53.

Après le coup d'arrêt de la Grande Guerre et la disparition de la pratique du football jusqu'à l'Armistice, le chapitre 2 débute par la lente et difficile reprise du ballon rond dans le courant de l'année 1919, après le coup d'arrêt de la Grande Guerre et la disparition de la pratique du football imposée par l'occupant en 1916. Les deux patronages joviciens redémarrent progressivement l'ensemble de leurs activités sportives -et notamment le football-, avec des garçons devenus adultes.

Tandis qu'en avril 1919, le football français entre dans une ère nouvelle, avec la création de la Fédération Française de Football Association, en Lorraine, l'unité est plus délicate et plus tardive. La Ligue de Lorraine de Football Association voit le jour en août 1920. Dès l'été 1919, la Section Pierre de Bar dispute deux matchs amicaux contre les patronages des cités voisines. La Légion de Franchepré ne reprend la compétition qu'en juin 1920. Cette année 1920 marque bien le renouveau du football dans la cité jovicienne. Ayant manqué la première édition d'un championnat assez restreint organisé par la Ligue, les deux clubs joviciens sont bien présents dès la saison 1921/22 en le championnat de Deuxième Série. Ils connaissent hélas un bilan très mitigé, les Pierre de Bar quittant même la Ligue dès la fin de la saison.

Les premières années de cette décennie Vingt ne sont pas très glorieuses. On peut dire que le football jovicien manque complétement le train de l'essor impulsé par la Ligue. À Génibois, l'apparition du football-rugby (dès 1921) et du basket-ball (surtout à partir de 1925) viennent sérieusement concurrencer le ballon rond au sein du patronage. Au cours de l'été 1923, à son tour, la Légion quitte la Ligue de Lorraine. Après une année de léthargie, le ballon rond réapparaît sur la pelouse de Sainte-Anne. Les deux patronages se sont "repliés" sur le championnat -assez confidentiel- organisé par l'Union Drouot pour les patronages de Meurthe-et-Moselle.

Tandis que la Légion de Franchepré fait une apparition d'une année avant de disparaître définitivement à l'automne 1925, la Section Pierre de Bar y fait carrière pendant 4 saisons, remportant même le trophée en avril 1926. Mais le vieillissement des anciens, les difficultés de financer les déplacements sur Nancy et le cadre disciplinaire strict proposé par le patronage constituent des handicaps pesants. En 1928/29, la Pierre de Bar réintègre le championnat de la Ligue, tout au bas de l'échelle et Troisième Série. Cette nouvelle expérience s'avère catastrophique sur le plan des résultats : suspensions de joueurs, forfaits et amendes et suspension du club ont raison de la patience du curé directeur du patronage.

En mars 1929, au terme d'une saison cauchemardesque, le curé Dellwall considère le football comme un sport dispendieux et peu efficace pour la formation des jeunes. Il souhaite privilégier la gymnastique, la musique et la préparation militaire. Cet arrêt marque la disparition provisoire du football à Jœuf jusqu'à la fin d'année 1932. Alors que la pratique du ballon rond fleurit et prospère dans toutes les cités environnantes, elle aura évidemment bien du mal à rattraper le temps perdu au cours de la décennie suivante.

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Fac-similés de la page "chapitre 2" et d'un exemple de page.

Fac-similés des pages 83 et 85.

Fac-similés des pages 106 et 114.

Le chapitre 3 redémarre donc avec la renaissance du football association en décembre 1932, à l'initiative de Jules Jung et de l'imprimeur Octave Marchal. Le curé Dellwall se résout alors à relancer le ballon rond sur la pelouse de Ste-Anne, sous les couleurs de la Pierre de Bar. Reprenant la compétition en championnat de Lorraine, l'équipe fanion bagarre ferme pendant six saisons pour sortir de la Troisième Division. Pour la saison 1936/37, les dirigeants font le choix de la jeunesse, en n'engageant qu'une équipe juniors. Hélas, cela entraîne le départ de plusieurs joueurs cadres vers les clubs voisins d'Homécourt et de Moyeuvre.
La saison 1937/38 enregistre l'arrivée d'un nouvel entraîneur, Jean Vecchio. Après un premier exercice de rodage, celui-ci réussit à bâtir une équipe solide et performante. La saison 38/39 est une rude bataille pour les "Pierre de Bar" qui arrachent in extremis la première place de leur groupe. En mai 1939, au terme de cette magnifique saison, dans son bulletin paroissial, le chanoine Dellwall, directeur de la Section Pierre de Bar, peut se féliciter du succès de ses joueurs, champions de leur groupe de Troisième Série. Il se déclare assuré de voir évoluer ses protégés en 2° Série, pour la saison 1939/40. Hélas ! avec une quinzaine de groupes en 3° Série, la formule des barrages est nécessaire et réglementaire. À la fin mai 1939, butant sur ce dernier obstacle, les hommes de J. Vecchio se voient "condamnés" à évoluer une nouvelle saison au dernier échelon du football lorrain.
Mais, la désillusion sera vite balayée par des événements bien plus tragiques ! En Lorraine plus qu'ailleurs, les six années de guerre vont redistribuer les cartes et bouleverser la hiérarchie du football régional.

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Fac-similés de la page "chapitre 3"

Fac-similés des pages 144 et 145.

Fac-similés des pages 148 et 155.

Fac-similés des pages 161 et 172.

 

 

Chronologie : extraits des années 1933 et 1936.

Fac-similés des pages 181 et 189.

Abordant la période de la Seconde Guerre, le chapitre 4 évoque une nouvelle rupture dans la vie économique, la vie sociale et culturelle de la ville. Tandis que de nombreux joueurs sont mobilisés et que les championnats s'interrompent, la pratique du football ne cesse pas totalement pendant la "Drôle de guerre". Les matchs amicaux servent d'abord à divertir les militaires cantonnés dans la ville de Jœuf ou les cités voisines ; par prudence, la presse ne précise pas les noms des régiments dont les soldats affrontent les joueurs locaux à Ste-Anne. Puis, sur les conseils de la Ligue de Lorraine, les clubs organisent des compétitions de proximité. À Pâques 1940, il est envisagé de créer un challenge de la vallée de l'Orne… Le projet est "ajourné" sine die par les bombes allemandes qui s'abattent sur la région le 10 mai 1940.

Fac-similé de la page "chapitre 4".

 

Après l'invasion du pays et l'armistice de juin 1940, la Lorraine se trouve à nouveau coupée en deux par l'annexion de la Moselle. La commune de Jœuf redevient frontalière avec l'Allemagne. Au chaos succède le silence. La défaite a asséné un coup mortel au football lorrain qui a bien du mal à repartir. Dès le début d'année 1941, avec la promulgation de la "Charte des Sports",le gouvernement de Vichy entend mettre au pas les associations en chapeautant l'ensemble du monde sportif et en imposant de nouvelles règles à la pratique. En avril 1941, dans ce nouveau contexte, les deux patronages de Jœuf doivent fusionner en une société omnisports prenant la dénomination d'Association Sportive Jovicienne (plus simplement appelée "La Jovicienne" pendant les années de guerre et celles qui suivent. Un comité spécialisé est alors constitué pour chaque section de l'association. MM. Maurice Peltier, Jean Denis et Adam prennent conjointement la direction du comité de football.
Le football survit donc sous Vichy et l'occupation. Mais, la pratique sportive subit des contraintes imprévues et pesantes, surtout en raison des moyens de déplacements rares et coûteux. Au mois d'août 1941, les joueurs joviciens participent à un championnat de Meurthe-Nord, compétition souvent entravée par les problèmes de l'occupation. La seconde grande innovation de cette année 1941 est la création par l'A.S. Jovicienne d'une épreuve reprenant le principe du Challenge De Wendel, et baptisée "Challenge Pierre-de-Bar". Au cours des deux années suivantes, tandis que le club voisin d'Homécourt brille au plus haut niveau des trois départements lorrains encore français, l'histoire du football à Jœuf n'est qu'une triste chronique des années sombres.
En juin 1944, il est grand temps que les Alliés sifflent la fin des matchs d'une compétition folklorique mise en place depuis une année par un pouvoir vichyste dictatorial qui vacille et se dissout au cours de l'été. La vallée de l'Orne est libérée en septembre 1944 et la pratique sportive est à nouveau totalement entravée par les opérations militaires. Il faut attendre plusieurs mois pour que Libération rime avec Renaissance ! Les clubs sortent progressivement de l'ombre et reprennent leurs activités sous l'égide de la Ligue de Lorraine, dont les structures sont quasi complètement à reconstruire.

Fac-similés des pages 197 et 200.

Fac-similés des pages 216 et 220.

Le chapitre 5 débute à la Libération de la région et évoque le redémarrage progressif du ballon rond dans la vallée de l'Orne. Tandis que les combats se poursuivent encore pendant huit mois, le football reprend progressivement avec les joueurs disponibles, avec l'organisation d'un modeste championnat de proximité. À Jœuf, au printemps 1945, la section football de l'A.S.J. semble être repartie sur de bons rails, avec de nouveaux atouts : soutien de la direction des Forges et de la municipalité, promesse de construction d'un nouveau stade, notoriété plus affirmée avec la pérennisation du challenge Pierre-de-Bar créé pendant la guerre et transformé en coupe départementale par la Ligue de Lorraine.

En Lorraine réunifiée, alors que la frontière créée par l'occupant est définitivement effacée, on assiste à la renaissance progressive de clubs et à la refondation de la Ligue, placée face à un gigantesque chantier. La saison 1945/46 se déroule sous la forme d'un championnat transitoire permettant d'établir une nouvelle hiérarchie des clubs. Grand brassage équitable, cette longue saison se poursuit par des rencontres de barrage. Cette formule fournit au club jovicien l'occasion de saisir sa chance. L'A.S.J. se hisse en Deuxième Division dès la première saison et, sous la direction de Louis Weimerskirch et Lucien Meyer, une équipe très prometteuse accède au niveau supérieur l'année suivante.Avec l'apparition de joueurs comme C. Dosdat et A. Platini, pour la première fois de son histoire, le football jovicien appartient à l'élite des 40 meilleures équipes lorraines.

Malheureusement, en raison d'un certain manque d'expérience et d'un effectif trop limité, amoindrie par les départs ou les indisponibilités des meilleurs éléments, l'A.S.J. ne reste que deux saisons en Première Division. Après un forfait général en milieu de saison 1948/49, échec sanctionné par la descente du club, tout est à reconstruire. Un nouveau comité prend en main la section football qui rompt alors avec "l'esprit de patronage" hérité du passé. Cette orientation nouvelle est symbolisée par le transfert du siège de la section football au café Platini, rue de Franchepré. Elle est surtout concrétisée par l'arrivée à Jœuf d'un entraîneur expérimenté, Fernand Colotte.

La "méthode Colotte" fait rapidement ses preuves ! Fin technicien et meneur d'hommes, le coach choisit Aldo Platini comme capitaine d'une équipe qui manque d'un rien l'accession en Première Division lors de la saison 1949/50. Transformé, pratiquant "un jeu scientifique et de qualité", le onze jovicien gravit ensuite deux échelons consécutifs. Les joueurs joviciens se hissent en Promotion d'Honneur à l'issue de la saison 1951/52, remportant au passage à deux reprises le challenge Pierre-de-Bar dont la finale se dispute toujours sur leur pelouse fétiche du stade Sainte-Anne.

Après le départ de Colotte, devenu un vrai club formateur l'A.S.J. vise la Division d'Honneur, sommet de l'élite régionale. Progressivement, au sein des nouvelles générations, apparaissent d'excellents joueurs, remarqués au niveau régional et sélectionnés dans les équipes de jeunes. La relève est de qualité, mais, il faut encore engranger de l'expérience et de la stabilité ! Avec les passages successifs de trois entraîneurs, quatre saisons et trois matchs de barrage "historiques" en mai-juin 1956 sont encore nécessaires pour franchir la dernière marche et hisser les couleurs joviciennes au sommet de la hiérarchie lorraine.

Fac-similé de la page "chapitre 5".

 

Fac-similés des pages 233 et 241.

 

 

 

 

Chronologie : extraits des années 1946 et 1947.

 

Fac-similés des pages 245 et 259.

Fac-similés des pages 284 et 285.

Fac-similés des pages 296 et 301.

Fac-similés des pages 306 et 312.

Fac-similés des pages 323 et 334.

Fac-similés des pages 347 et 351.

Fac-similés des pages 358 et 362.

 

Le chapitre 6 relate les trois années au cours desquelles le club évolue au plus haut niveau régional. Après la relégation en Promotion d'honneur, Aldo Platini, capitaine du onze fanion, sélectionné et capitaine de l'équipe de Lorraine prend en charge la direction du club à partir de la saison 1959/60. Avec l'éclosion d'une nouvelle génération de joueurs talentueux et un heureux amalgame avec quelques anciens, il faudra six saisons pour parvenir à retrouver la Division d'honneur.
Les six années suivantes enregistrent hélas un aller et retour entre la Promotion et la D.H. Pendant ce temps les données économiques de la ville et de la vallée de l'Orne évoluent de façon défavorable. Le soutien des directions des usines est remplacé par celui des municipalités.
Alors que de nouvelles et prestigieuses installations sont aménagées au sommet de la butte de Ravenne, l'A.S.J. poursuit son rôle formateur de jeunes joueurs. C'est notamment la révélation de Michel Platini qui évolue pendant deux saisons dans le onze fanion jovicien, avant de rejoindre des pelouses et des clubs à la mesure de son immense talent.
Mais les déclins industriel et démographique ne sont pas sans effet sur les résultats du club qui quitte la Promotion en fin de saison 1973/74. Deux années plus tard, la glorieuse A.S.J. disparaît définitivement, en intégrant la nouvelle structure née de l'initiative de la municipalité désormais seul soutien financier des associations sportives. Commence alors une autre histoire moins "glorieuse" sous les couleurs du C.S.M.J., puis du F.C.J. et enfin de l'E.S.J.

Fac-similé de la page "chapitre 6".

 

 

 

 

Chronologie : extraits des années 1956 et 1957.

Fac-similés des pages 364 et 375.

Fac-similés des pages 377 et 395.

Fac-similés des pages 412 et 413.

 

Chronologie : extraits des années 1958 et 1959.

Fac-similés des pages 424 et 427.

Fac-similés des pages 433 et 441.

Chronologie : extraits des années 1960 et 1962.

Fac-similés des pages 449 et 458.

Fac-similés des pages 475 et 481.

Chronologie : extraits des années 1963, 1964 et 1965

 

Fac-similé de la page "chapitre 7".

 

Fac-similés des pages 520 et 523.

Fac-similés des pages 525 et 531.

Fac-similés des pages 533 et 537.

* Deuxième partie :

Bien avant d'achever la présentation -forcément synthétique- d'un siècle d'histoire du ballon rond dans la cité jovicienne, nous avions conscience que, tant la pagination limitée que le temps très court disponible entraîneraient des choix difficiles parmi la masse de documents et de témoignages rassemblés. Des performances collectives ou individuelles, des aventures, des faits anecdotiques ou des événements essentiels risquaient de rester dans l'ombre et de glisser dans un oubli définitif…

Quelle responsabilité ! D'autant que la réalisation d'un tel ouvrage représente une entreprise rare, unique même, quand on considère la combinaison de circonstances qui ont lancé ce "chantier du siècle" !

Or, l'histoire appartient également aux individus qui en ont écrit les pages les plus glorieuses, mais aussi celles plus modestes. Il aurait été dommage de ne pas mettre en lumière les hommes, les figures marquantes de ce football jovicien. Nous avons décidé de retrouver les traces de ceux qui sont disparus, nous avons voulu écouter les témoignages de ceux qui sont encore là, afin que les footballeurs qui, demain fouleront pelouses ou terrains synthétiques du stade de Ravenne, réalisent mieux la nature exacte de leurs racines. Cette volonté constitue toute la raison d'être de la deuxième partie de l'ouvrage. Particulièrement complexes et délicates à organiser, ces pages proposent une galerie de portraits, une présentation simple, vivante et chaleureuse, chargée de souvenirs et d'émotions...

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Fac-similé de la page titre "2ème partie".

Exemples de pages figurant dans la 2ème partie.

* Troisième partie :

Depuis les premiers préparatifs et avec le début officiel des manifestations du Centenaire, le 19 juin 2009, les membres du Cercle d'Histoire s'organisent pour immortaliser les grands événements de cet été exceptionnel, pour relater les moments particuliers et les faits insolites survenant au cours des diverses journées. En complément des documents réalisés sous l'égide des organisateurs, une sélection des photographies du CPHJ figurera en bonne place dans la " trilogie" de l'ouvrage.

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Fac-similé de la page titre "3ème partie".

Exemples de pages figurant dans la 3ème partie.

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® C.P.H.J. - Juillet 2011